MANGEZ DES HUÎTRES !
Mes chers pingouins (fait froid, hein !),
j'ai aimé les petites histoires que vous m'avez contées en réponse à ce précédent billet.
Soyez mignons de décongèler de céans vos cerveaux de poissons panés et de vous remémorer la question posée qui était : "Et vous, quels sont vos secrets anti gris gris de novembrose ?". Ca vous aidera à comprendre la suite, si, si.
Car des fins stratèges anti sinistrose, on en a plein la banquise de Very Beautiful Indeed. Jugez-vous même !
Alors, y'en a qui vont s'agiter les mollets en haut de la Tour Eiffel illuminée. Je dis oui à Sissi, se mettre les bas en haut est définitivement anti sinistrose. On peut le faire aussi sans Tour Eiffel avec un bon escabeau, par exemple.
D'autres vont mater du pompier à la Sainte Barbe. Je dis, oui Lebon c'est vrai, un bon pompier ça fait toujours son effet et c'est encore mieux par camion entier, avec ou sans barbe d'ailleurs.
Et puis nous avons Hildegarde qui, par temps de pluie, se réfugie dans ses douves pour fabriquer des lotions de beauté et autres produits magiques. Donnes-nous vite tes recettes, ma chère sorcière bien aimée, j'ai le chaudron qui bout rien que d'y penser!
Comme je vous aime bien mes bébés phoques, je vous donne un autre truc pour gagner en sérénité hivernale, même par -15° :
Il faut manger des huîtres !
Remplies d'iode, de phosphore et d'oligo-éléments les huîtres sont stimulantes et symbolisent depuis toujours la féminité.
Mieux, le bivalves serait aphrodisiaque alors on partage avec sa moitié siouplaît.
La rumeur dit que Casanova débutait chacun de ses repas par douze douzaines d'huîtres. Inutile de s'en enfiler des bourriches pour autant, le mieux étant une consommation raisonnée et régulière toute l'année :
Exemple de consommation du bivalves en été
L'huître s'ingère.
Bain de bivalves déconseillé.
Je m'en vais faire mon crustacé de canapé.
A ciao, mes perles du blogfort !