LES FOUS DU SHOPPING
Pour contrer l'actuel climat économique sibérien, Le Chéri et moi faisons du shopping !
Croyez-moi, pour se remonter le moral, deux paires de chaussures valent mieux qu'un long discours. Nous pourrions tout aussi bien boire de la vodka mais le shopping est, lui, sans contre-indication médicale. CQFD.
A London, c'était le paradize. La presque parité entre l'Euro et la Livre ! Evènement rare, joyeux et festif . Les CB ont fumé. Surtout celle du Chéri.
J'aime Le Chéri quand il fait du shopping à en perdre la tête :
L'étendue de ses achats nous servit de couvre-lit : une paire de chaussures, un jean, un polo à manches courtes, un polo à manches longues, un T Shirt à tête d'indien (oui !) et un blouson.
Matez le sourire radieux du chasseur victorieux !!!
Quant à moi, j'ai finalement beaucoup contemplé pour peu acheter.
J'ai admiré ces paillettes joliment déposées par la Fée Clochettes sur les T Shirt. Mais je résistais à l'envie de plaire à Peter Pan. Moi, c'est Le Chéri un point c'est tout.
Sur les sacs en poils de yéti, je ne craquais point non plus. Le Chéri est allergique aux poils de yétis (ah bon, je ne vous l'avais pas dit?).
Ensuite, mon joli pied de fée a tangué devant ces strass ostentatoires :
Mais tous ces diamants en bas, c'est bien du gâchis. Et à moins d'être contorsionniste, ça peut être très très dangereux de se les hisser à hauteur d'oreille. Autant craquer direct pour une rivière de diamants un ruisseau de brillants.
J'ai convoité ces lunettes à montures blanches, façon Kate Moss :
Mais j'ai décidé de me contenter de l'escabeau en arrière plan. Je suis sûre que Kate ne l'a pas. Je cultive ma différence.
Les petites tenues gothiques ne m'ont pas plu non plus :
Pas de quoi grimper aux rideaux :
Alors j'ai contemplé, admiré, dans les miroirs je me suis moirée ...
Pour finalement n'acheter qu'un jean (ça compte bas, c'est du basique) et une veste (ça ne compte pas non plus - très jolie quand même).
Mais quel bonheur !!!
Ma banquière à laquelle je soumettais l'idée du shopping-remède-anti-crise ne se montra pas emballée. Son collier de perles et ses ballerines en simili huître (grises et plates mais ni fines ni claires) nous ont toujours séparées.
Mais comment accepter un placement financier de quelqu'un qui investit si mal les boutiques !!!
Et bientôt, vous saurez tout sur la musique ...
Croyez-moi, pour se remonter le moral, deux paires de chaussures valent mieux qu'un long discours. Nous pourrions tout aussi bien boire de la vodka mais le shopping est, lui, sans contre-indication médicale. CQFD.
A London, c'était le paradize. La presque parité entre l'Euro et la Livre ! Evènement rare, joyeux et festif . Les CB ont fumé. Surtout celle du Chéri.
J'aime Le Chéri quand il fait du shopping à en perdre la tête :
L'étendue de ses achats nous servit de couvre-lit : une paire de chaussures, un jean, un polo à manches courtes, un polo à manches longues, un T Shirt à tête d'indien (oui !) et un blouson.
Matez le sourire radieux du chasseur victorieux !!!
Quant à moi, j'ai finalement beaucoup contemplé pour peu acheter.
J'ai admiré ces paillettes joliment déposées par la Fée Clochettes sur les T Shirt. Mais je résistais à l'envie de plaire à Peter Pan. Moi, c'est Le Chéri un point c'est tout.
Sur les sacs en poils de yéti, je ne craquais point non plus. Le Chéri est allergique aux poils de yétis (ah bon, je ne vous l'avais pas dit?).
Ensuite, mon joli pied de fée a tangué devant ces strass ostentatoires :
Mais tous ces diamants en bas, c'est bien du gâchis. Et à moins d'être contorsionniste, ça peut être très très dangereux de se les hisser à hauteur d'oreille. Autant craquer direct pour une rivière de diamants un ruisseau de brillants.
J'ai convoité ces lunettes à montures blanches, façon Kate Moss :
Mais j'ai décidé de me contenter de l'escabeau en arrière plan. Je suis sûre que Kate ne l'a pas. Je cultive ma différence.
Les petites tenues gothiques ne m'ont pas plu non plus :
Pas de quoi grimper aux rideaux :
Alors j'ai contemplé, admiré, dans les miroirs je me suis moirée ...
Pour finalement n'acheter qu'un jean (ça compte bas, c'est du basique) et une veste (ça ne compte pas non plus - très jolie quand même).
Mais quel bonheur !!!
Ma banquière à laquelle je soumettais l'idée du shopping-remède-anti-crise ne se montra pas emballée. Son collier de perles et ses ballerines en simili huître (grises et plates mais ni fines ni claires) nous ont toujours séparées.
Mais comment accepter un placement financier de quelqu'un qui investit si mal les boutiques !!!
Et bientôt, vous saurez tout sur la musique ...